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Vous pouvez consulter la liste et prendre rendez-vous directement sur le site de la Direction de la SCIC RICHERAND:
http://www.centre-de-sante-richerand.fr/
Centre Santé RICHERAND
Consultation sans rendez-vous du :
Lundi au vendredi de 9h à 18h
Noter que lors de ces consultation:
- Un seul motif de consultation sera traité.
- Ni certificat, attestation outre document non urgent ne sera établi ou rempli par le médecin (certificat MDPH, certificat de non contre indication au sport...)
- Les patients seront vus par le médecin par ordre d'arrivée.
Le médecin pourra vous orienter vers une consultation quelques jours plus tard si votre motif n'est pas urgent.
Il faut sauver le Centre de Santé RICHERAND
Bonne rentrée à chacune et chacun
Echos de la SCIC Santé RICHERAND
Le Tribunal de Commerce de Paris a prononcé le redressement judiciaire avec recherche de repreneurs et a nommé un administrateur judiciaire avec un délai de 2 mois soit en septembre pour l'examen des repreneurs potentiels...
La date est arrêtée au 2 septembre afin de connaître les dossiers des futurs repreneurs. En attente de cette date le Centre de Santé est ouvert tout l'été.
Un report a été accordé jusqu'au 9 septembre.
Les dossiers de reprise sont déposés ce 9 septembre dont nous n'avons pas encore connaissance.
Il n'y a pas de décision du Tribunal du Commerce de Paris mais une audience devrait se tenir à la
mi-octobre.
Jean- louis Valette -Paris - 16 juillet 2024
5septembre -10 septembre 2024
Depuis le 29 août, les pharmacies peuvent délivrer un traitement permettant de prémunir les nourrissons de cette infection virale extrêmement contagieuse. Environ 30 % des bébés la contractent chaque année.
Depuis le 29 août 2024, les pharmacies françaises ont été livrées en Beyfortus, le traitement préventif contre le virus respiratoire syncytial (VRS) à l’origine des bronchiolites du nourrisson. Avant l’hiver, période de grande contamination de cette infection virale, la Haute Autorité de santé (HAS) recommande en effet aux parents d’administrer cet anticorps à leur enfant pour les immuniser.
L’autorité publique préconise de procéder à l’injection « avant de sortir de la maternité ». Toutefois, elle précise également que les doses peuvent être injectées à « tous les nourrissons nés depuis le 1er janvier 2024 ».
Il s’agit de la deuxième campagne de prévention lancée par le gouvernement « à travers l’administration du Beyfortus. Pour protéger les nourrissons et freiner la circulation de ce virus », mentionne Santé publique France. L’Agence nationale de santé publique s’appuie en effet sur deux études récentes prouvant l’efficacité de ce traitement « dans la prévention des cas graves et la réduction des hospitalisations chez les nourrissons ».
Elle a d’ailleurs elle-même participé à la première évaluation avec l’Institut Pasteur. Quant à la seconde, il s’agit d’une enquête internationale « menée auprès de 8 058 nourrissons ».
D’autre part, pour les enfants à naître, la HAS invite les femmes enceintes à procéder à une injection d’Abrysvo. Cette vaccination peut être réalisée au 8e mois de grossesse. Sur son site internet, elle indique que la protection est « du même ordre de grandeur » que celle obtenue avec le Beyfortus.
L’Assurance maladie explique que « 30 % des nourrissons de moins de 2 ans sont atteints » chaque année de la bronchiolite. Et plus de 26 000 passages aux urgences ont été causés par cette maladie, lors de la dernière épidémie survenue à l’hiver 2022-2023.
Si le vaccin Abrysvo est intégralement pris en charge par la Sécurité sociale, ce n’est pas le cas du Beyfortus. Ce dernier reste « délivré sans avance de frais à la maternité », rappelle la HAS. Mais dans les pharmacies, il est remboursé par l’Assurance maladie seulement à hauteur de 30 %. « Soit un reste à charge de 281,26 euros », sur les 401,80 euros, prix de ce traitement paru au Journal officiel le 30 avril 2024.
L’autorité de santé invite les assurés à contacter leur mutuelle ou complémentaire santé pour connaître le montant de leur remboursement.
A l’automne, ce sera au tour des seniors de pouvoir être vaccinés contre le VRS. Deux produits (Arexvy et Abrysvo) seront alors à disposition des personnes de plus de 75 ans. Ainsi que pour celles « de 65 ans et plus présentant des pathologies respiratoires ou cardiaques chroniques ».
« En France, lors de la saison hivernale 2022-2023, les plus de 75 ans représentaient 61 % des hospitalisations. Et 78 % des décès liés au VRS. »
Capucine Bardet 3 septembre 2024 www.viva magazine.fr
Le Centre de Santé Richerand reste ouvert
Centres de santé : Évitons l’amalgame.
De nouvelles structures dites "centres de santé" dentaires viennent d’être sanctionnées pour fraude à l’Assurance maladie. La Fédération Nationale des Centres de Santé (FNCS) s’en félicite et appelle à ne pas faire d’amalgame. Ces condamnations sont justes et nécessaires et les représentants des centres de santé ont contribué, dans les commissions paritaires de l’Assurance Maladie, à ces condamnations afin de lutter contre les déviances de ces faux "centres de santé".
Ces structures déviantes détournent et pervertissent le modèle des centres de santé en y mettant des modes de gestion à finalité économique à des années lumières de l’esprit et des missions de ce que sont pour nous les centres santé.
Inscrit dans le code de Santé Publique, les centres de santé, pendant de nombreuses années ont été essentiellement municipaux, mutualistes, associatifs, fondations ou gérés par le régime d’assurance santé mais aujourd’hui les gestionnaires se diversifient avec de nouvelles collectivités locales (Conseils départementaux, Intercommunalités, conseils régionaux), des universités, des associations, des hôpitaux. Ils représentent un moyen, pour ces derniers, d’agir concrètement pour l’accès à la santé de toutes et tous.
Ils répondent aux attentes des usagers comme des professionnels de santé et parce que pour nombre d’actrices et d’acteurs publics (collectivités locales), associatifs, citoyens leur développement ou leur création permet d’agir sur les besoins de santé et les déserts médicaux.
Les centres de santé délivrent des soins de ville, en secteur 1, pratique le tiers-payant (obligatoire pour un centre de santé) avec des heures d’ouverture larges. Ils sont médicaux, dentaires, infirmiers, ou pluriprofessionnels. Les centres de santé ont un rôle important sur le territoire où ils sont implantés : ils sont médecin-traitant de nombreux patients, ils accueillent les étudiants en santé, organisent des actions de prévention, ils participent aux communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS).
La FNCS regroupe les gestionnaires de centres de santé, à but non lucratif (essentiellement des centres de santé médicaux et pluriprofessionnels) qui partagent les valeurs de travail en équipe, de respect de la dignité humaine, de non-discrimination, d’égalité d’accès à la santé et soucieux de l’intérêt du patient et des usagers.