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Vous pouvez consulter la liste et prendre rendez-vous directement sur le site de la Direction de la SCIC RICHERAND:
http://www.centre-de-sante-richerand.fr/
Centre Santé RICHERAND
Consultation sans rendez-vous du :
Lundi au vendredi de 9h à 18h
Noter que lors de ces consultation:
- Un seul motif de consultation sera traité.
- Ni certificat, attestation outre document non urgent ne sera établi ou rempli par le médecin (certificat MDPH, certificat de non contre indication au sport...)
- Les patients seront vus par le médecin par ordre d'arrivée.
Le médecin pourra vous orienter vers une consultation quelques jours plus tard si votre motif n'est pas urgent.
Il faut sauver le Centre de Santé RICHERAND
Photo extraite du site cimves .fr
Avec près de 60 000 nouveaux cas et 12 000 décès chaque année, le cancer du sein est le plus fréquent chez la femme. Il reste également le plus meurtrier. Alors que le dépistage recule au niveau national, la détection précoce de la maladie permet pourtant de mettre en place des traitements efficaces.
D’après une étude de Santé publique France, le taux de participation à la campagne de dépistage du cancer du sein 2022-2023 a atteint 46,5%, soit une baisse de 1,2 point par rapport à la période 2021-2022 (47,7%). Toutefois, « le taux de détection de cancer parmi les femmes qui font leur dépistage est en augmentation régulière », tient à rappeler l’Agence nationale de santé publique.
Près de 80% des cancers du sein se développent au moment de la cinquantaine. Depuis 2004, un dépistage organisé s’adresse aux femmes âgées de 50 à 74 ans. Grâce à ce protocole, six cancers sur dix sont diagnostiqués à un stade précoce, ce qui permet la mise en place de traitements moins lourds et, le cas échéant, d’une chirurgie moins invasive.
Les autorités sanitaires recommandent d’effectuer ce dépistage tous les deux ans. Hors de cette tranche d’âge, les femmes doivent rester vigilantes et se rendre chez leur médecin pour procéder à une palpation des seins chaque année, à partir de 25 ans.
La fréquence et le moment de la première mammographie peuvent varier en cas d’antécédents médicaux ou familiaux. N’hésitez pas à vous informer auprès de votre médecin traitant.
https://www.vivamagazine.fr/cancer-du-sein-et-alcool-une-europeenne-sur-cinq-seulement-fait-le-lien/
Manon -Gautier Faure 1er octobre 2024 www. Viva magazine.fr
La campagne de prévention et de sensibilisation au cancer du sein Octobre Rose va bientôt commencer. Comme chaque année, elle a pour objectif de récolter des fonds pour la recherche contre le cancer du sein mais aussi de sensibiliser les femmes à l’importance du dépistage. Elle permet ainsi de diffuser des informations sur le dépistage organisé du cancer du sein.
Depuis 2004, les pouvoirs publics ont mis en place une campagne de dépistage organisé du cancer du sein à destination des femmes de 50 à 74 ans. Ce dispositif est motivé par le fait qu’une détection précoce du cancer du sein augmente considérablement les chances de survie. En effet, selon les chiffres de l’Institut National du Cancer, 9 cancers du sein sur 10 sont guéris s’ils sont dépistés tôt. Un dépistage précoce permet également de limiter le recours aux traitements trop lourds dans certains cas.
A partir de 50 ans, chaque femme inscrite auprès du régime obligatoire d’assurance maladie reçoit, tous les deux ans par courrier, une invitation à passer une mammographie de dépistage. A cette invitation est joint un bon de prise en charge ainsi qu’une liste de radiologues agréés au sein du dispositif de dépistage organisé.
Le bon de prise en charge permet de ne réaliser aucune avance de frais. En effet, les mammographies de dépistage dans le cadre de cette campagne sont intégralement remboursées par la sécurité sociale. Les patients ne paient rien et bénéficient du tiers payant.
Au moment du rendez-vous, il convient de ne pas oublier ce bon de prise en charge ainsi que sa carte vitale. Le radiologue réalise une mammographie qui consiste en deux clichés de chaque sein : un cliché de face et un cliché en oblique.
S’il constate une anomalie, le radiologue peut réaliser un examen complémentaire comme une échographie par exemple. Pour ces examens de complément, le remboursement à 100 % par la sécurité sociale ne s’applique pas. Il s’agit de la prise en charge habituelle des examens de radiologie, à savoir le remboursement de la sécurité sociale et celui de la complémentaire santé de la patiente si elle en a souscrit une. Le plus souvent, le tiers payant peut également s’appliquer.
A la fin de la consultation, le médecin communique les résultats à la patiente. Il faut savoir que même les examens sans anomalies bénéficient d’une seconde lecture par un autre radiologue. Les résultats définitifs ne sont donc connus que quelques semaines plus tard.
Selon l’Institut National du Cancer, 80 % des cancers du sein se développent après l’âge de 50 ans. C’est pourquoi les pouvoirs publics ont choisi ce seuil pour la mise en place de la campagne de dépistage organisé du cancer du sein.
Toutefois, depuis 2016, il est possible de bénéficier d’une prise en charge à 100 % des mammographies de dépistage réalisées en dehors de cette campagne. Les femmes présentant un risque élevé de développer un cancer du sein peuvent ainsi se faire dépister plus tôt dès lors que leur médecin l’estime nécessaire. Cela s’adresse également aux patientes pour lesquelles une anomalie a été détectée lors d’un examen clinique.
Il est essentiel de communiquer à votre médecin traitant ainsi qu’à votre gynécologue les différents antécédents familiaux de cancer du sein ainsi que vos habitudes de vie. Ces éléments sont autant de faisceaux d’indices pris en compte par les professionnels de santé pour déterminer le risque inhérent à chaque patiente.
A cela s’ajoute l’importance d’un suivi régulier avec la réalisation de palpation mammaire par un professionnel de santé.
Dès 40 ans, il est également possible de bénéficier d’un bilan prédictif du cancer du sein pour déterminer le profil de risque d’une femme de développer cette maladie. Ce test développé par Predilife repose sur une analyse des antécédents familiaux, du mode de vie ainsi que des données biologiques et génétiques. Il s’appuie sur des téléconsultations réalisées par des médecins ainsi que sur un test salivaire à réaliser chez soi. Les résultats sont confidentiels et permettent à la personne concernée de bénéficier de conseils personnalisés en matière de prévention et de détection du cancer du sein. Ce dispositif clé en main et prêt à l’emploi est proposé aux entreprises dans le cadre de leur politique RH en prévention santé. Il se réalise sans contrainte de temps ni de déplacement partout en France.
Si vous aussi vous souhaitez vous engager dans la lutte contre le cancer du sein en entreprise et proposer des bilans de prévention, n’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus.
Dès aujourd'hui, je réalise mon bilan prédictif du cancer du sein
Extrait du site : https://www.predilife.com/newsroom/comment-se-deroule-la-campagne-de-depistage-organise-du-cancer-du-sein/
Echos de la SCIC Santé RICHERAND
Le Tribunal de Commerce de Paris a prononcé le redressement judiciaire avec recherche de repreneurs et a nommé un administrateur judiciaire avec un délai de 2 mois soit en septembre pour l'examen des repreneurs potentiels...
La date est arrêtée au 2 septembre afin de connaître les dossiers des futurs repreneurs. En attente de cette date le Centre de Santé est ouvert tout l'été.
Un report a été accordé jusqu'au 9 septembre.
Les dossiers de reprise sont déposés ce 9 septembre dont nous n'avons pas encore connaissance.
Il n'y a pas de décision du Tribunal du Commerce de Paris mais une audience devrait se tenir à la
mi-octobre.
Jean- louis Valette -Paris - 16 juillet 2024
5septembre -10 septembre 2024
Le Centre de Santé Richerand reste ouvert
ALERTE SUR LA DISPARITION
DES CENTREs DE SANTE DU SECTEUR 1 A PARIS
« Ce sont des dizaines de milliers de patients qui vont se retrouver sans médecin traitant », déplorent les organisations représentatives du secteur et interpellent les pouvoirs publics.
Sept centre de santé public du secteur 1 sont menacés de fermeture « imminente » en raison de difficultés financières, et vont laisser des dizaines de milliers de patients sans médecin traitant,
La coopérative de santé Richerand, dans le XXe arrondissement de Paris, et six centres de santé gérés par la Croix-Rouge, à Paris et dans les Hauts-de-Seine, sont menacés de fermer d'ici «la fin du mois », déplorent dans un communiqué l'Union syndicale des médecins de centres de santé (USMCS) et la Fédération nationale des centres de santé (FNCS)........à lire
Extrait Le Figaro et AFP du 10/06/2024
A lire un entretien du Docteur Jeanne Villeneuve directrice médicale du Centre Santé Richerand
"Fondé en 1974 par les Activités sociales des industries électriques et gazières et repris par une coopérative (SCIC*) en 2019, le centre “réalise 54 000 consultations par an”, expose sa directrice médicale, la Dre Jeanne Villeneuve. “On a une file active de 20 000 patients, dont 10 000 en médecine générale.” Les 10 médecins généralistes salariés par le centre suivent près de 6 000 patients médecin traitant, un chiffre en forte augmentation depuis 2020 et dont ces “6 MG ETP de 35 heures” (incluant aussi du “temps non clinique”, avec les staffs hebdomadaires) n’ont pas à rougir, insiste-t-elle. IDE, infirmière Azalée, assistants médicaux, sage-femmes… “Grâce à la répartition des tâches entre les professionnels, on arrive quand même à suivre une grande proportion de patients, comparé à d’autres modes d’exercice”, lance Jeanne Villeneuve........
A LIRE dans le lien ci-dessous
Thierry Chevallier Vice-Président de l'Association Usagers SCIC Santé RICHERAND