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Vous pouvez consulter la liste et prendre rendez-vous directement sur le site : www.oppelia.fr
https://centre-de-sante-richerand.fr
Centre Santé Oppelia Richerand
Consultation sans rendez-vous du :
Lundi au vendredi de 9h à 18h
Noter que lors de ces consultation:
- Un seul motif de consultation sera traité.
- Ni certificat, attestation outre document non urgent ne sera établi ou rempli par le médecin (certificat MDPH, certificat de non contre indication au sport...)
- Les patients seront vus par le médecin par ordre d'arrivée.
Le médecin pourra vous orienter vers une consultation quelques jours plus tard si votre motif n'est pas urgent.
URGENCE MAYOTTE
Le Secours populaire français lance un appel aux dons financiers et à la mobilisation de tous pour venir en aide aux populations touchées par le cyclone Chido à Mayotte. Une aide financière de 100 000 euros a déjà été débloquée et nous travaillons avec nos partenaires mahorais afin d’apporter un soutien d’urgence aux sinistrés, qui s’inscrira dans la durée.
Le Centre de Santé Oppelia Richerand est ouvert
A l’occasion de Mars bleu, mois de sensibilisation consacré au cancer colorectal, la Ligue contre le cancer a lancé une campagne avec un slogan percutant : « Va chier », afin d’inciter les 50-74 ans à se faire dépister tous les deux ans.
Chaque année en France, le cancer colorectal touche plus de 47 000 personnes (dont environ 26 000 hommes et 21 000 femmes) et provoque 17 000 décès. Pourtant, détecté suffisamment tôt, il se guérit dans neuf cas sur dix.
Pour inciter les Français à se faire dépister à l’occasion de Mars bleu, mois de sensibilisation consacré au cancer colorectal, la Ligue contre le cancer a décidé cette année de muscler sa campagne de communication avec un slogan choc : « Va chier. Dites-le à ceux que vous aimez, ça peut leur sauver la vie. Le dépistage du cancer colorectal, c’est simple, c’est gratuit, ça prend une minute, ça se fait à la maison, et c’est tous les 2 ans à partir de 50 ans. »
Ce message provocateur vise à attirer l’attention et à encourager le dialogue autour du cancer colorectal, qui est l’un des cancers qui se soigne le mieux. Or, sur la période 2021-2022, seuls 35 % des 50-74 ans ont réalisé un test de dépistage. Ce faible taux de participation est préoccupant.
Dans plus de 80 % des cas, le cancer colorectal provient d’une tumeur bénigne qui évolue lentement et finit par devenir maligne. Les symptômes sont d’ordre digestif, comme une diarrhée prolongée, de la constipation, un mal de ventre, un manque d’appétit… Et lorsque la maladie est plus avancée, elle peut se manifester par la présence de sang dans les selles.
Les habitudes de vie peuvent avoir une influence déterminante sur la probabilité de développer un cancer colorectal. Une alimentation trop riche en graisses animales, la consommation d’alcool, la sédentarité, le surpoids et le tabagisme sont autant de facteurs de risques. Le danger est plus élevé en cas d’antécédents familiaux. Les sujets ayant un parent atteint de ce cancer doivent en parler à leur médecin.
En France, un programme de dépistage gratuit est proposé, tous les deux ans, aux femmes et aux hommes âgés de 50 à 74 ans (neuf patients touchés sur dix ont plus de 50 ans). Par courrier de l’Assurance maladie, les personnes ciblées sont invitées à se procurer un kit de test auprès de leur médecin traitant lors d’une consultation.
Elles peuvent également le commander sur Internet (monkit.depistage-colorectal.fr) ou le retirer en pharmacie, en se munissant de leur carte Vitale. Pris en charge à 100 %, sans avance de frais, ce test, qui consiste à rechercher du sang caché dans les selles, est simple et rapide à réaliser.
Le prélèvement de matières fécales est à effectuer chez soi. Il faut ensuite l’envoyer au laboratoire pour analyses. Les résultats sont adressés au patient et à son médecin traitant sous une quinzaine de jours environ. En cas de test positif (ce qui arrive dans 4,6 % des cas), une coloscopie sera prescrite pour examiner l’intérieur du côlon et établir un diagnostic précis.
Les principaux protocoles de soins sont la chirurgie et les traitements médicamenteux (thérapies ciblées ou chimiothérapies conventionnelles). Ils peuvent être utilisés seuls ou associés les uns aux autres.
C’est le troisième cancer le plus fréquent chez l’homme, après ceux de la prostate et du poumon. De surcroît, la mortalité masculine est plus importante (9 200 hommes pour 7 900 femmes). Toutefois, entre 2010 et 2023, on constate que l’incidence du cancer colorectal est en légère progression chez la femme (+0,4 % par an en moyenne), alors qu’elle diminue chez l’homme (-0,5 % par an).
Pour obtenir des informations supplémentaires sur Mars bleu : mars-bleu.ligue-cancer.net
Marilyn Perioli article du 9 mars 2025 www.viva magazine.fr
Rapport de l’IGAS sur l’évaluation du modèle économique des
centres de santé pluriprofessionnels :
la FNCS et l’USPCS prennent acte et appellent au juste financement des missions des centres de santé dans le cadre d'un nouveau modèle médico-économique.
Attendu depuis plus d’un an, le rapport de l’IGAS est enfin paru le 11 février dernier. S’il
confirme le rôle essentiel des centres de santé dans l’accès aux soins, il ne propose toujours
pas les solutions attendues pour garantir leur viabilité. La FNCS et l’USPCS appellent à une
réforme urgente du financement pour pérenniser ces structures indispensables, toujours plus
nombreuses chaque année dans le paysage sanitaire.
Ce rapport s’ajoute à la liste des rapports et études précédemment sortis ces dernières années
sur la place des centres de santé dans le système de santé français et sur leur modèle médicoéconomique
: rapport de l’IGAS en 20131, les études de l’ANAP2 et ACE3 plus récemment,
mais aussi les rapports du HCAAM4 ou encore celui de la Cour des comptes5.
Pour rappel, ce rapport analyse des données économiques et d’activité dont les plus récentes
datent de 2022, impactées par la crise Covid. Il n’a porté que sur les centres de santé
pluriprofessionnels, excluant les centres de santé médicaux dont l’évolution fréquente vers la
pluriprofessionnalité est pourtant une réalité et dont le nombre est passé de 108 à 319 entre
2016 et 2022.
Au-delà d’une présentation parfois partisane6 et de certaines conclusions contestables7 qui
peuvent encourager des réactions hâtives voire des analyses infondées et erronées des
éternels opposants aux centres de santé, que dit ce nouveau rapport ?
1. Les centres de santé jouent un rôle majeur dans l’accès aux soins :
La majorité des centres de santé sont implantés en zones sous-denses et
consolident l’offre de soins territoriale en réalisant des prestations délaissées ou
peu prisées par les professionnels de santé libéraux ;
Le degré de précarité sociale de la patientèle est nettement plus élevé en centre
de santé pluriprofessionnel qu’en exercice libéral au niveau national : le taux moyen
national global de la patientèle des centres de santé associant C2S et AME est de
18,2 % contre 10 % pour le libéral. Un quart des centres ont un taux supérieur ou
égal à 25,2% et 10 % ont un taux supérieur ou égal à 33,6 %.suite dans le fichier
Echos de l"ASSO:
Réponse à notre demande du Président de l'Association Santé Richerand :
Courrier du 14 mars 2025:
Bonjour Mr Valette,
J’ai bien reçu votre mél du 18 Février. Ainsi que je vous l’indiquais dans ma première réponse par mél du 2 Janvier notre activité et nos priorités sont intenses ce premier trimestre. Le CA a seulement récemment rencontré l’équipe du centre de santé et la mise en place de notre comité stratégique avec les principaux financeurs aura lieu fin Mars. Dans ce contexte nous gardons bien évidemment à l’esprit l’enjeu de la collaboration avec les usagers et ce point est à l’ordre du jour de notre conseil d’administration du 17 Mars. Nous souhaitons aborder cet enjeu dans une vision élargie et une nouvelle dynamique dans le développement du centre de santé.
Aussi je ne manquerai pas de vous recontacter prochainement pour l’organisation d’une rencontre.
Monsieur Thomas Rouault
En réponse à ce message d'au moins fixer dans le temps une ou deux dates. Jean-Louis Valette