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Consulter les vacations des médecins
INFO-MINUTE
Vous pouvez également voir la liste et prendre rendez-vous directement sur le site de la Direction de la SCIC RICHERAND:
http://www.centre-de-sante-richerand.fr/
Centre Santé RICHERAND
Consultation sans rendez-vous du :
Lundi au vendredi de 9h à 18h
Noter que lors de ces consultation:
- Un seul motif de consultation sera traité.
- Ni certificat, attestation outre document non urgent ne sera établi ou rempli par le médecin (certificat MDPH, certificat de non contre indication au sport...)
- Les patients seront vus par le médecin par ordre d'arrivée.
Le médecin pourra vous orienter vers une consultation quelques jours plus tard si votre motif n'est pas urgent.
Communiqué de presse 25 avril 2023
Selon la cellule investigation de Radio France, le directeur du Cosem, une chaîne comptant 17 centres de santé en France, serait visé par un signalement pour détournement de fonds publics. Si les faits étaient avérés, il s’agirait d’une nouvelle illustration des dérives accompagnant la financiarisation de la médecine de ville et du médico-social, après les affaires Dentexia et Orpéa et les plaintes de la Sécurité sociale envers des centres de santé "voyous", ophtalmologiques, et dentaires.
La Sécurité sociale est le bien commun de tous les Français. Sa branche maladie est aujourd’hui attaquée par de nouveaux acteurs, dont le but lucratif est à peine déguisé, alors que le code de la santé publique l’interdit. Ces nouveaux acteurs prospèrent à la faveur du désordre de la médecine de ville. Ce désordre est bien connu de nos concitoyens : déserts médicaux, impossibilité pour certains de trouver un médecin traitant, obligation subie d’aller submerger les urgences des hôpitaux pour des soins qui devraient relever de la seule médecine de ville Ces nouveaux acteurs financiers prospèrent à la manière d’une infection opportuniste chez un malade, ce malade bien affaibli qu’est notre système de santé et de protection sociale. Ces nouveaux acteurs sont déjà un problème et le seront encore plus demain !
Ne pas agir c’est laisser la marchandisation prendre le pas sur la qualité des soins, l’intérêt des patients et de la société. Nous appelons à la création d’un service public de santé de proximité maillant l’ensemble des territoires français de centres de santé portant des missions de service public. Nous en appelons à l’État pour qu’il organise ce nécessaire accès de toutes et tous aux soins et à la prévention. En cinq ans (2017-2022), le nombre de centres de santé médicaux et polyvalents a augmenté de 120 %(1) passant de 500 à 1100 et attirant toujours plus de professionnels là où les volontés de politiques locales se sont manifestées. Cette augmentation, même si elle est encourageante, est très largement insuffisante en regard des besoins des populations de tous les territoires.
La FNCS et l’USMCS demandent à être reçues par le Ministre de la santé et de la prévention afin d’exposer leur proposition pour construire les soins de proximité de demain, capables de répondre aux défis des déserts médicaux, des maladies chroniques, du grand âge, des inégalités de santé.
Contacts :
Le donanemab, un nouveau traitement contre la maladie d’Alzheimer a fait ses preuves, lors d’un essai clinique de phase 3, de grande ampleur. Le médicament a ralenti la progression de la maladie.
Le groupe pharmaceutique américain Eli Lilly a publié des résultats très prometteurs de son nouveau traitement contre la maladie d’Alzheimer. Le donanemab a permis de réduire de 36% le déclin cognitif des patients faisant partie de l’étude. Cette molécule est un anticorps qui cible le N3pG, une forme de la protéine bêta-amyloide.
Il y a plus d’un million de malades en France. 8% des plus de 65 ans sont concernés. 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année dans l’Hexagone.
Y-a-t-il des raisons d’espérer du côté des traitements de la maladie d’Alzheimer ? Oui, si l’on en croit les résultats de l’essai clinique américain, baptisé Trailblazer-ALZ 2, randomisé contre placebo et en double aveugle. Cet essai de grande ampleur, a été mené sur 1 200 participants âgés de 60 à 85 ans n’ayant pas encore atteint un stade avancé de la maladie. Les patients traités par le donanemab ont présenté une réduction de 36 % du déclin cognitif, indique le laboratoire Eli Lilly. L’autonomie au quotidien (conduire, converser, avoir des loisirs, gérer ses finances) a aussi été mesurée : sur 18 mois, les patients ont présenté une baisse de 40 % du déclin de leur capacité à réaliser ces tâches.
Ces résultats sont prometteurs mais il s’agit de ne pas crier victoire trop tôt. Car, le traitement peut entraîner des effets secondaires graves, comme des œdèmes ou hémorragies cérébrales. Trois participants à l’essai clinique sont décédés, selon le communiqué du groupe pharmaceutique. Le traitement est encore très cher et son remboursement fait débat aux États-Unis.
D’autres traitements qui ciblent aussi les dépôts de la protéine bêta-amyloïde ont vu le jour mais malheureusement, sans grand succès à long terme. Seul, le lécanemab a démontré clairement une réduction du déclin cognitif (de 27 %) dans le cadre d’un essai clinique.
Avec le donanemab d’Eli Lilly, s’il est approuvé, les patients devraient disposer d’un choix de médicplus large.
On attend l’approbation de la mise sur le marché américain pour le donanemab. Puis, ce sera au tour de l’Europe et de la France de l’autoriser ou pas.
Marilyn Perioli 5 mai 2023
Le second rappel vaccinal ou quatrième dose de vaccin contre le Covid-19 limite les formes graves de la maladie en renforçant le système immunitaire.
La vaccination des plus fragiles face au Covid-19 doit se poursuivre même si l'épidémie diminue en France avec l'arrivée des beaux jours. La quatrième dose de vaccin (correspondant à une seconde dose de rappel vaccinal) est ouverte aux Français âgés de 60 ans et plus 6 mois après leur dernier rappel et à tous les patients immunodéprimés et les plus de 80 ans .
C'est possible
au Centre de santé RICHERAND:
Du lundi au Vendredi de 8h30 à 13h et 14h à 16h30
Sur Doctolib et par Tél: 01 40 03 38 58
En France, les personnels soignants non-vaccinés pourront retourner au travail à partir de lundi 15 mai. Le décret du gouvernement est paru dimanche 14 mai au Journal officiel. Le retour de ces personnels, écartés pendant la crise du Covid, pose toujours quelques questions.
Deux pompiers volontaires viennent de passer un an et demi à l’extérieur de leur caserne, suspendus car ils ne voulaient pas se faire vacciner. À la veille de leur retour au travail, c’est l’inquiétude. "Le problème c’est qu’aujourd’hui, est-ce que notre hiérarchie à La Réunion ne va pas mettre de bâtons dans les roues aux pompiers qui n’ont pas pu et pas fait l’injection en question", s’interroge Frédéric Grondin, pompier volontaire – syndicat participatif 974. "On a été jetés comme des malpropres. Il y a un peu d’amertume", reconnaît Bernard Beaupage, pompier volontaire.
Difficile de dire précisément combien de professionnels vont reprendre le travail, lundi 15 mai. Soignants, personnels des hôpitaux et des maisons de retraites, ambulanciers, aides à domicile, ils seraient quelques milliers à avoir été suspendus. Une période sans salaire, mal vécue par beaucoup. Du côté des établissements de santé, l’accueil des non-vaccinés promet d’être compliqué pour les antivax les plus militants. Nombre de médecins dénoncent le retour des non-vaccinés. Pour la suite, l’Académie nationale de médecine recommande que les vaccinations contre le Covid et même la grippe, deviennent obligatoires pour tous les personnels soignants.
14 mai 2023 France info