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Vous pouvez également voir la liste et prendre rendez-vous directement sur le site de la Direction de la SCIC RICHERAND:
http://www.centre-de-sante-richerand.fr/
Centre Santé RICHERAND
Consultation sans rendez-vous du :
Lundi au vendredi de 9h à 18h
Noter que lors de ces consultation:
- Un seul motif de consultation sera traité.
- Ni certificat, attestation outre document non urgent ne sera établi ou rempli par le médecin (certificat MDPH, certificat de non contre indication au sport...)
- Les patients seront vus par le médecin par ordre d'arrivée.
Le médecin pourra vous orienter vers une consultation quelques jours plus tard si votre motif n'est pas urgent.
Exigeons un Service Dentaire dans la SCIC Santé RICHERAND
Les déclarations du gouvernement sur la pertinence de la prise en charge des affections de longue durée (ALD) ont fait réagir. Le 4 mars 2024, vingt-cinq associations de malades chroniques ont adressé une lettre ouverte à Frédéric Valletoux, le ministre délégué chargé de la Santé et de la Prévention. Retour sur ces annonces et sur ce texte avec Bruno Lamothe, le responsable du pôle plaidoyer de Renaloo, association de patients atteints de maladies rénales.
Bruno Lamothe : La Caisse nationale de l’assurance maladie a été missionnée pour proposer des solutions d’économies liées aux ALD sous un mois. On ignore ce que souhaite favoriser le gouvernement. Mais on connaît les scénarios envisagés. Il peut s’agir de sortir certaines maladies de la liste de ALD, comme ce fut le cas pour l’hypertension artérielle en 2011. Ou de sortir certains soins des ALD. Un dernier scénario viserait à restreindre l’accès aux ALD de certaines maladies psychiatriques ou pathologies « hors liste », qui, par définition, ne sont pas considérées comme telles.
B. L. : Les annonces sont incohérentes entre elles. Des missions ont été lancées… Notre vigilance est intacte. Et nous refusons que, sous quelque forme que ce soit, les patients payent l’addition…
B. L. : Différentes instances pointent régulièrement du doigt un certain nombre de pathologies qui ne sont pas vitales, comme les pathologies mentales. Car elles coûtent cher et elles ne sont pas documentées. Mais il faut trouver des économies ailleurs. On n’a jamais investi dans la prévention et le dépistage. Il est normal que ces ALD coûtent cher. Pour certaines pathologies, comme le diabète ou le cancer, on n’en arriverait pas à ce stade si elles étaient dépistées et ralenties à temps. Il faut des systèmes à la hauteur des enjeux. Cela demande des investissements sur du moyen et du long terme.
Encore une fois, on tape sur les patients en les accusant de coûter cher. Mais ce qui coûte cher, c’est la financiarisation du système de santé.
B. L. : Le risque prégnant, c’est plus d’injustices. Aujourd’hui, le mécanisme des ALD couvre relativement bien les personnes concernées. Mais avec des restes à charge très importants et des manquements. Beaucoup de patients renoncent, volontairement ou pas, à ce mécanisme. Car il y a une vraie méconnaissance de ce système, qui relève du savoir du médecin. Comme beaucoup de malades n’ont pas de médecin traitant, ils n’ont pas accès aux ALD.
Et ils sont traités de façon chronique. Ces situations concernent davantage les personnes précaires, économiquement ou socialement. Cette remise en cause des ALD, quoi qu’il arrive, ferait beaucoup de mal. Elle va éloigner des personnes du soin. C’est le cas à chaque fois qu’on remet en cause un dispositif.
B. L. : Encore une fois, on tape sur les patients en les accusant de coûter cher. Mais ce qui coûte cher, c’est la financiarisation du système de santé. Avec de grosses structures qui investissent beaucoup et qui ont besoin de rentabilité. Il y a une solution : prioriser l’efficacité, donc la pertinence des soins.
En ce qui concerne les maladies rénales, il y a deux moyens de suppléance : la dialyse et la greffe. La première coûte 63 000 euros par an à la Sécurité sociale ad vitam. C’est le mode de suppléance le plus onéreux en Europe. La greffe, elle, coûte beaucoup moins cher : 40 000 euros l’année de l’opération, puis 11 000 euros les suivantes. Mais les pouvoirs publics ont tout axé autour de la dialyse. Avec des structures essentiellement privées et lucratives qui font des marges importantes. En 2019, la Cour des comptes chiffrait ces marges à 16 %.
Entretien réalisé par Manon Gauthier-Faure 2 avril 2024 www.vivamagazine.fr
Echos de la SCIC Santé RICHERAND
Une sortie de crise dans le flou...?
Le Comex du 12 mars s'est bien tenu par l'annonce du Président sur 2 points :
- 1- Le médiateur judiciaire a rendu ses différentes rencontres auprès des créanciers et a constaté que le créancier principal, la Banque n' a pas signé le protocole d'accord.
De fait il se doit de s'engager dans les meilleurs délais dans une procédure dite ad'hoc auprès du Président du Tribunal de Commerce.
- 2- Des négociations se sont engagés avec des partenaires pouvant apporter un apport financier permettant la prise compte du déficit et d'installer la pérennité de l'activité du Centre de Santé sur la base du plan de redressement avancé par la Direction validé par le ComEx.
Il apparaît qu'un partenaire serait très parti prenant ayant les mêmes valeurs sociales et pratiques médicales d'un Centre de Santé.
Il s'avère qu'à la demande de notre Association si c'était un partenaire vraiment fiable, rejoint par les représentants des salariés , le Président comme toujours optimiste malgré cette situation critique que vivent les salariés depuis 1année et demi, n'a pas voulu donné une quelconque information aux membres du ComEx.
NOUS SOMMES DANS LE FLOU...L'incertain ... sur un accord avec ce partenaire qui si cela se réalise permettra de saisir le Président du Tribunal assez rapidement et au mandataire de procéder à un accord auprès de la Banque et une sortie de crise ....
Cette procédure ad'hoc est courte. La tenue d'un ComEx le 2 avril est programmée.
La Directrice informe les membres que la situation financière est toujours dans le rouge mais les salaires sont assurés jusqu'à fin juin.
Les représentants des salariés ont exprimés leur difficultés actuelles dans leur pratique et les efforts qu'ils ont engagés pour soutenir une activité de qualité malgré le départ de médecins, soignante et administratif.
Concernant la future Association , le Président indique qu'elle est en stand-by.
Prochain ComEx : Jeudi 6 mai 2024 Assemblée Générale le 13 juin 2024
Compte-rendu associatif du ComEx du 12 mars 2024
Le 18mars 2024-Paris
Jean-Louis Valette Président de l' Association des Usagers de la SCIC Santé Richerand
SCIC Santé Richerand... suite
Du nouveau sans en être !!! En tant que membre du ComEx pas toujours pas d'infos sur le tiers partenaire et si il y a une date butoir concernant la procédure ad'hoc....
Comme un des membres de notre Conseil d'Administration qui s'est exprimé pertinemment en s'interrogeant :
"La SCIC Santé Richerand est-elle une Coopérative?, Fait-elle partie de l'Economie sociale et solidaire?
Le doute m'habite comme disait Pierre Desproges..."
Jean-louis Valette président de l'Association des Usagers de la SCIC Santé Richerand
Paris 5 avril 2024
Mot du Président de la SCIC
"Cher-e-s tou-te-s,
Le Comité exécutif de la SCIC réuni le 12 mars dernier a été informé que :
« si un scenario réaliste d’accord se concrétisait dans les tout prochains jours, il pourrait être décidé par le président de la SCIC de demander au président du tribunal de commerce l’ouverture d’une « procédure ad hoc ».
Ce scenario réaliste d'accord a pris corps depuis lors et continue à être instruit. A l’issue de l’audience auprès du tribunal de commerce qui s’est tenue ce matin, la présidente a fait part de sa décision de donner son accord à l’ouverture de de la « procédure ad hoc » que j’ai sollicité au nom de la SCIC.
Les discussions engagées dans le cadre de la « conciliation » dont il a été fait état lors du COMEX du 12/03/2024 se poursuivent désormais dans ce nouveau cadre, dit de la « procédure ad hoc ».
Notez bien que le Comex prévu le 02/04/24, n’ayant pas lieu d’être, est annulé.
Très cordialement."
Dr Alain BEAUPIN
Président
Coopérative de santé Richerand (SCIC)
Fédération Nationale des Centres de Santé
Le président de la république vient de renouveler son engagement en faveur de la rémunération des médecins au "patient et plutôt qu’à l’acte". Le forfait annuel par patient pour une prise en charge globale! La prévention au cœur du métier, finie la course aux actes !
C’est une revendication portée de longue date par les centres de santé. L’accès aux soins est devenu la première préoccupation des Français-e-s. Pas un jour sans que la presse ne se fasse l’écho de déserts médicaux et de tension dans les hôpitaux publics, contraints de jouer sans moyens un rôle qui n’est pas le leur. Des croyances économiques libérales ont été plaquées sur le système de santé, sans respect des besoins des patients et de la réalité sociale, aggravant les inégalités sociales de santé.
Heureusement sur le terrain, ça bouge. La presse rapporte le foisonnement d’initiatives de collectivités territoriales (de communes, de départements et de régions), de collectifs et d’associations d’usagers, créant des centres de santé, dont tous les personnels de santé sont salariés, y compris les médecins. C’est une lueur d’espoir pour nombre de territoires et une réponse aux aspirations des jeunes générations de soignants.... lire la suite:
https://www.fncs.org/acces-aux-soins-deserts-medicaux-gaspillages-remuneration-au-forfait-les-centres-de-sante-refusent-l-immobilisme
Communiqué de presse du 22 janvier 2024